Le congrès de la SFE qui se déroulait à Lille en septembre 2025 fut l’occasion de rappeler des récentes recommandations internationales qui décrivent les étapes d’accompagnement d’une femme atteinte de SOPK et en désir de grossesse.

Il est clair aujourd’hui que le SOPK n’est pas une maladie unique, mais un ensemble de phénotypes qui s’étagent depuis un profil dit métabolique, souvent associé à une obésité et où le rôle de l’insuline est déterminant, et un profil dit reproductif, associé à des taux hormonaux spécifiques élevés (AMH – hormone anti-müllérienne – et LH – hormone lutéinisante).

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SOPK et fertilité

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